La première séance dure 1h30, structurée en trois phases : un temps prolongé pour les parents et l'enfant, suivi de deux moments plus courts où l'enfant est reçu seul, puis les parents seuls.
Pour les séances suivantes, l'enfant sera accueilli seul.
Nous effectuerons un point ensemble toutes les deux séances.
Chaque rencontre avec l'enfant dure environ 55 minutes, suivie de 5 minutes d'échange avec le(s) parent(s).
À la fin de chaque séance, l'enfant repart avec un outil à expérimenter à la maison.
Votre enfant découvrira :
- Pourquoi son cerveau "bug" quand il stresse (non, il n'est pas cassé !)
- Des techniques de respiration qui marchent vraiment (pas juste le "respire un coup" qu'on lui répète)
- Des exercices anti-stress discrets (oui, on peut se détendre sans faire le lotus en pleine classe !)
- Comment transformer ses papillons dans le ventre en super-pouvoirs
Durée : 1h / Tarif : 55€
La 1ere séance dure 1h30 au tarif de 65€
Les séances individuelles peuvent se faire au cabinet ou à domicile. Séances en visio possibles ponctuellement.
Votre enfant apprendra a
- Dompter son "cerveau popcorn" qui saute d'une pensée à l'autre
- Créer sa "bulle de concentration" (même quand le voisin mâche son stylo très... très fort)
- Transformer son bureau parfois "zone de chaos" en "QG du progrès et de la réussite"
Durée : 1h / Tarif : 55€
La 1ere séance dure 1h30 au tarif de 65€
Les séances individuelles peuvent se faire au cabinet ou à domicile. Séances en visio possibles ponctuellement.
"Allez, détends toi !" "Ne stresse pas !" "Respire !"... Si ces phrases magiques fonctionnaient, ça se saurait ! 😉
Le stress est une réaction naturelle de notre corps, un héritage de nos ancêtres qui devaient fuir face au danger. Aujourd'hui, notre cerveau réagit de la même manière face à un contrôle surprise qu'eux face à un mammouth ! Cette réaction mobilise notre corps et notre esprit : le cœur s'accélère, les muscles se tendent, la respiration devient rapide et superficielle. Résultat ? Notre cerveau, en mode "survie", bloque l'accès aux apprentissages et à la mémoire.
Savez-vous que notre corps ne fait pas la différence entre stress positif et négatif ? L'excitation avant une fête produit exactement les mêmes hormones qu'avant un examen ! La clé ? C'est notre interprétation qui change tout. Des études montrent que les étudiants qui redéfinissent leur stress comme de l'excitation voient leurs performances augmenter de 30% !
Le fameux "cerveau reptilien" responsable du stress fonctionne 400 fois plus vite que notre néocortex rationnel. C'est pour ça qu'on panique avant même d'avoir eu le temps de réfléchir !
Les émotions, elles, sont comme une palette de couleurs qui teinte notre journée. Contrairement aux sentiments qui s'installent dans la durée, elles sont intenses mais passagères, comme des vagues qui nous submergent puis se retirent. Chaque émotion a son utilité : la peur nous protège, la colère nous fait défendre nos limites, la joie nous motive... Mais quand elles deviennent trop intenses, elles peuvent parasiter notre capacité à apprendre et à nous concentrer.
Ah, la concentration ! Notre cerveau est comme un smartphone : en mode multitâche permanent, avec 47 onglets ouverts et Netflix en arrière-plan. Mais saviez-vous que notre cerveau consomme 20% de notre énergie alors qu'il ne représente que 2% de notre masse corporelle ? Pas étonnant qu'on soit fatigué !
La science nous révèle des trucs étonnants : travailler près d'une plante augmente la concentration de 15%, et la lumière bleue de nos écrans réduit de 40% la production de mélatonine (l'hormone du sommeil).
Le truc méconnu ? La technique "Pomodoro à l'envers" : au lieu de définir un temps de travail, on définit un temps de pause. C'est comme dire à son cerveau "T'as le droit de partir en vrille, mais pas plus de 5 minutes !". Études à l'appui, ça marche mieux que de s'imposer des sessions de concentration forcée !
Des études en chronobiologie révèlent que notre capacité de concentration suit un rythme circadien : elle atteint son pic vers 10h du matin et connaît un second souffle entre 15h et 17h. Entre 14h et 15h ? C'est la fameuse "vallée de la sieste" où notre cerveau est naturellement moins performant.
La technique du "contraste environnemental" est fascinante : alterner entre différents lieux d'études augmente la rétention de 40% ! C'est lié à la création de "marqueurs contextuels" dans notre cerveau. Même chose pour les odeurs : l'arôme de menthe poivrée améliore la concentration de 28% selon une étude de l'Université de Cincinnati.
Le bruit blanc (comme celui d'un ventilateur) à 70 décibels optimise la concentration pour 78% des personnes, alors que le silence total peut paradoxalement être déstabilisant pour certains cerveaux en quête de stimulation sensorielle modérée.
Ah, la confiance en soi ! Notre cerveau est comme un DJ intérieur : parfois il balance des tubes qui nous font danser, d'autres fois c'est la playlist "Doutes & Cie" en boucle. Mais saviez-vous que le cerveau ne fait pas la différence entre une situation réelle et imaginée ? Les neurosciences montrent que visualiser un succès active les mêmes zones cérébrales que le vivre !
La science nous balance des pépites : un simple changement de posture pendant 2 minutes augmente la testostérone (l'hormone de l'assurance) de 20%, et sourire, même forcé, déclenche une cascade d'hormones du bien-être qui boost la confiance de 30%.
Le truc dingue ? La technique du "miroir inversé" : au lieu de chercher ses défauts, on s'observe en notant trois qualités chaque jour. C'est comme dire à son cerveau "Allez, montre-moi le meilleur !". Les études prouvent que cette pratique augmente l'estime de soi de 40% en trois semaines !
La chronobiologie révèle que notre confiance suit un rythme naturel : elle est au top le matin après un bon sommeil et connaît un second pic vers 17h. Entre 11h et 12h ? C'est la "zone courage" où nous sommes naturellement plus enclins à relever des défis !
Le "conditionnement environnemental" est fascinant : s'entourer de souvenirs de réussites augmente la confiance de 35% ! C'est lié à l'activation de nos "circuits de récompense" cérébraux. Même chose pour les odeurs : les agrumes stimulent les ondes cérébrales liées à la confiance de 25% selon une étude de l'Université de Tokyo.
Les interactions sociales positives libèrent de l'ocytocine, augmentant la confiance de 48% chez 83% des personnes, alors que l'isolement peut créer un cercle vicieux de doutes. Notre cerveau social adore les encouragements !
Léa Martin, 13 ans
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